Goodbye 2024, Welcome 2025!

Et voilà, l'année 2024 touche à sa fin et il est temps pour moi de dresser le bilan de cette année qui a été pour le moins sportive, c'est le cas de le dire!

Je peux dire, d'ores et déjà, que cette année qui se termine a été plutôt bonne dans l'ensemble. Il n'y a pas eu d'évènement graves comme en 2023 (voir article ici) et même si nous avons été très occupés avec Chéri, les derniers mois ont été plutôt calmes...

En ce qui concerne les résolutions que j'avais formulées il y a un an, je les ai plutôt bien tenues. Non, je n'ai pas eu d'accident de voiture, ouf! 🚗 Oui je me suis beaucoup entraînée et j'ai participé à pas mal de courses à pied officielles 🏃🏼‍♀️🏃🏼‍♀️🏃🏼‍♀️. Oui, j'ai gardé un esprit curieux tout au long de l'année. Oui, j'ai été heureuse grâce à mon Chéri et à mes parents que j'aime tant ainsi qu'à un travail ô combien difficile mais tellement humain! 

Allez, je vous emmène à la découverte des évènements marquants qui ont émaillés cette année 2024, let's go!

1. Le travail

Bon, pas de suspens de ce côté là puisque je suis toujours aide à domicile. A l'heure où je publie cet article, cela va bientôt faire quatre ans que je fais ce métier. D'ailleurs, en y réfléchissant bien, je ne suis jamais restée aussi longtemps à exercer une profession de toute ma vie! 😅

En fait, il y a quelque chose qui prend aux tripes avec ce travail. C'est dur physiquement et psychologiquement. A tel point qu'il est maintenant obligatoire que l'on voit un psychiatre plusieurs fois par an. J'ai d'ailleurs eu ma dernière session de l'année avec lui et mon groupe de collègues il y a quelques jours. Car oui, nous sommes confrontées à des bénéficiaires (on ne parle pas de patients dans notre métier car nous ne sommes pas dans le secteur médical, mais plutôt médico-social) qui ont des handicaps ou des maladies souvent lourdes: Alzheimer, maladie de Huntington (terrible maladie rare que celle là, il faudrait que j'en parle plus en détails dans un article dédié), hémiplégie et tétraplégie suite à des AVC, démence à Corps de Lewy, sclérose en plaque, maladie de Parkinson, ostéogenèse imparfaite (autrement appelée maladie des os de verre), etc...

Moi et mes collègues les accompagnons au quotidien pour qu'elles puissent rester chez elles, dans leur petit cocon familial, le plus longtemps possible sans être placées en institution. Car c'est ce à quoi nous servons, au final: permettre à ces personnes de rester dans leur environnement en favorisant leur autonomie et ainsi à désengorger les lieux d'accueil dédiés qui sont surchargés. 

Je suis donc en contact avec la vieillesse, la maladie et occasionnellement la mort tous les jours au travail. 

Nous autres les aides à domicile, nous sommes confrontées à la détresse humaine, celle de toutes ces personnes malades mais aussi à celle de leurs proches que nous côtoyons également dans l'exercice de nos fonctions. Et pour peu que l'on ne travaille pas dans le médical ou le social, c'est un univers que l'on ne voit pas, que l'on ne soupçonne même pas dans la vie de tous les jours: c'est un monde invisible, presque caché, comme si on avait honte d'être affaibli dans une société qui valorise plutôt la force, la jeunesse et la santé.

Mais malgré tout cela, il y a des moments magiques avec nos bénéficiaires. Je ne compte plus les fous rires, les parties endiablées de jeux de société comme Les Petits Chevaux, les confidences intimes faites autour d'une bonne tasse de café, les chansons d'Edith Piaf que je chante à mes petites personnes âgées (j'adore chanter! 🎶), les sourires et les bisous quand les mots ne sont plus là, etc... Souvent, nous sommes la seule personne que cette personne va voir dans la journée donc notre rôle d'accompagnement est primordial dans la lutte contre l'isolement.  

Donc, bien que difficile, ce travail est merveilleux et je m'y épanouis très bien. A tel point que cette année, ça y est, j'ai commencé une formation pour passer le diplôme d'ADVF (Assistante de Vie aux Familles). Depuis le mois de février, je me rends dans un centre de formation qui se trouve juste à côté du Zénith de Saint-Etienne tous les jeudis (un jour par semaine, donc) pour suivre des cours sur les maladies neuro-dégénératives, sur la cuisine (car nous sommes amenés à faire les courses et à cuisiner pour nos bénéficiaires), sur les troubles psychiques, sur l'entretien du linge, sur la maladie d'Alzheimer, sur l'aide à la toilette au lit des personnes dépendantes, sur l'entretien du cadre de vie, sur les différents types de handicap, etc... Donc, oui, la plupart des gens qui n'ont jamais été en contact avec nous autres les aides à domicile pour eux ou pour leurs proches, ne saisissent pas à quel point notre travail touche à des domaines tellement différents et variés. Pour dire, nous pouvons même être amenées à faire de la gestion administrative, du genre à ouvrir et trier le courrier (toujours en compagnie du bénéficiaire). Il m'est même arrivé une fois de devoir jeter un coup d'oeil aux comptes bancaires d'une personne à sa demande! 

Tous ces cours seront sanctionnés par un examen que je vais passer début mars 2025, afin d'obtenir ce diplôme qui me permettra de grimper en échelon au travail, et de gagner une meilleure paie, ce qui n'est pas négligeable!

Ce centre de formation s'appelle Nacarat et j'adore y aller. Les formatrices sont d'anciennes aide-soignantes ou AES (Accompagnantes Educatives et Sociales), donc elles savent vraiment de quoi elles parlent en termes de soins apportés aux personnes dépendantes. Le personnel administratif de ce centre est au top aussi, rien à redire!

Et quant à mon groupe, nous sommes neuf aides à domicile qui venons de structures différentes réparties sur le sud de la Loire. Il y en a qui viennent de Saint-Chamond, d'autres de Montbrison, Montrond-les-Bains, Roche-la-Molière, Saint-Etienne ou encore Andrézieux-Bouthéon me concernant. Et j'avoue qu'on s'entend toutes très bien, on a notre propre groupe WhatsApp et on prévoit de se voir en dehors de la formation pour aller se faire des bouffes entre copines (et se raconter encore plus de conneries qu'en cours!🤣). Ce sont des femmes extraordinaires et je suis tellement heureuse de les avoir rencontrées! Bref, il y a une super ambiance et on rigole bien dans notre promotion, la Pro A Neptune!  

En conclusion, tout se passe bien au travail et j'avoue que je suis très heureuse d'être en formation, pour pouvoir m'améliorer dans cette profession que j'aime tant!

J'appréhende un peu mon examen qui arrive maintenant à grands pas (début mars), mais je suis confiante car je vais tout faire pour l'obtenir! 💪💪💪

2. Le sport

Cette année 2024 aura été sportive pour moi! J'ai continué mes trois entraînements par semaine et j'ai participé à dix courses à pied officielles dont les distances se situaient entre 10 et 15 kilomètres. Je n'ai pas voulu faire de trop grosses courses cette année car je ne voulais pas me mettre la pression d'entraînements plus pointus et spécifiques, à cause de ma formation d'ADVF. En effet, je passe beaucoup de temps à réviser en dehors de mon travail qui est déjà très prenant et fatiguant, donc je ne voulais pas me rajouter une charge mentale supplémentaire.

J'ai donc couru pour le plaisir, en attendant de passer ce diplôme et de pouvoir ainsi avoir plus de temps pour me consacrer pleinement à ma passion de la course à pied et d'ainsi pouvoir augmenter mes volumes d'entraînement afin de participer à de plus grosses courses en 2025.   

J'ai adhéré à un club d'athlétisme pendant trois mois, d'avril à juin. Il s'agit du FAC (Forez Athletic Club) à Andrézieux-Bouthéon. Cette expérience n'a pas été très concluante pour moi et je n'ai pas souhaité renouveler mon adhésion pour l'année 2024-2025. Je n'ai d'ailleurs pas l'intention d'y retourner à l'avenir, et cela pour différentes raisons que je vais vous énumérer maintenant:

- Tout d'abord, et comme je l'ai mentionné plus haut, je souhaite me consacrer à mes études et me contenter d'entretenir le capital physique que je me suis construit depuis janvier 2023 (date à laquelle je me suis mise à la course à pied de façon sérieuse) en attendant de passer mon examen au mois de mars 2025. et de pouvoir intensifier mes séances sportives après ça...

- Avoir des horaires fixes est beaucoup trop contraignant pour moi. Au FAC, et comme dans tous les autres clubs d'athlé, les entraînements se déroulent les mardis et jeudis de 18h30 à 20h. Or, j'ai souvent mes mardis de libre et je dois attendre toute la journée avant de pouvoir m'entraîner, alors que j'ai souvent très envie d'y aller le matin, pour pouvoir profiter du reste de ma journée tranquillement. J'ai un travail dont l'emploi du temps est souvent changeant (jamais le même d'un mois sur l'autre) et je n'ai pas envie de me rajouter d'autres horaires qui ne me conviennent pas, au final, car ça me fait finir trop tard et ré-enchaîner très tôt le matin suivant.

J'ai envie d'être libre de courir au moment où j'en ai vraiment envie, et pas à des moments qui me sont imposés.

- Je préfère courir seule (ou avec mon Chéri, bien sûr!). Lorsque je mets mes baskets et que je pars courir, je rentre dans ma bulle. Je pense à mes soucis du moment, à mes projets pour le futur, à ce que j'ai envie d'écrire dans mon blog, à la façon dont je peux améliorer les choses au travail, etc... Mon esprit s'évade et je rentre dans un monologue intérieur qui ne m'empêche pas de profiter du silence et de la beauté de la Nature. Je me ressource en courant dans les sentiers et les chemins, mais SEULE! Lorsque je cours avec d'autres personnes qui me parlent, je ne parviens pas à déconnecter complètement et ça me pèse. Car lorsque je fais mon run seule, c'est pour tout évacuer et pouvoir souffler loin de tout, chose que je ne peux pas faire lorsque les autres me parlent de leur vie ou de leurs problèmes à eux! J'ai un métier qui est en permanence tourné vers des personnes fragiles et affaiblies, et c'est parfois difficile à gérer psychologiquement. Donc courir est un peu ma soupape de décompression , un moment privilégié où je me reconcentre sur mes propres besoins, et pas ceux des autres.

Oui, je suis une runneuse solitaire et je l'assume pleinement!

- Et enfin, je ne retournerai pas au FAC car j'ai été la cible de remarques qui m'ont mises mal à l'aise. En fait, lorsque j'ai commencé dans ce club, j'étais dans un groupe plus accessible pour les débutants. Ce groupe, coaché par Laurence, était super. Bonne ambiance, des gens cool, pas de prise de tête. Petite dédicace à Franck, mon grand frère de course à pied qui m'a bien aidée pendant ma course à Saint-Marcellin-en-Forez au mois d'avril (voir mon compte rendu de cette compétition ici).

Bref, je suis restée dans ce groupe un long moment, puis j'ai eu envie de passer à l'étape suivante, dans un groupe intermédiaire coaché par un homme. Lors de ma deuxième séance passée avec eux, il se trouve que je dis au coach devant tout le monde que je vais lui filer mon numéro de téléphone pour qu'il m'intègre à son groupe WhatsApp. Ce à quoi quelques mecs sans cervelle se mettent à ricaner en disant au coach qu'il a bien de la chance car il reçoit mon numéro sur un plateau, sans avoir à faire le moindre effort! Je suis sans voix, complètement médusée.

J'ai l'impression d'être face à des pré-adolescents boutonneux dans une cour de récréation de collège! 🤦🏼🤦🏼🤦🏼

Je ne dis rien car je me dis que c'est sans doute exceptionnel. Mais c'est que ça continue la fois suivante! Ce soir là, un jeudi, le groupe s'entraîne en dénivelé. On se donne rendez-vous au pied d'un chemin montant sur les hauteurs de Saint-Just Saint-Rambert, où je vis. Je cours à la traîne avec le coach qui est resté avec moi pour m'encourager. Il remarque que j'ai gardé ma clé de voiture dans la main en courant et me propose gentiment de la prendre pour la mettre dans sa ceinture de sport. Je suis fatiguée ce jour-là et je ne suis vraiment pas en forme (il y a des jours avec et des jours sans!). On finit par rejoindre les autres coureurs au sommet d'une longue montée. L'entraîneur propose alors à tout le monde deux chemins, un qui part à gauche pour les plus aguerris et l'autre à droite, plus facile. Les bons coureurs proposent alors au coach de les accompagner à gauche, sur quoi ce dernier refuse. J'interviens en m'excusant, en disant que c'est de ma faute. L'un deux me jauge alors et répond: "Bah oui, c'est difficile de lutter contre une blonde!". Alors que ce que je veux dire, c'est que le coach reste sans doute avec moi parce que je suis débutante, pas parce que je suis blonde! Encore une fois, je me tais mais je fulmine intérieurement.

Le reste de la séance se déroule bien, jusqu'à ce que la fin arrive. De retour vers les voitures, je retourne voir le coach pour lui demander ma clé et les autres mecs qui sont là se remettent à faire des remarques: "Bah alors, après le numéro de téléphone, c'est la clé de voiture! C'est quoi la prochaine étape?". Je suis atterrée, je trouve que ce genre de remarques n'a pas lieu d'être dans un club de sport! 🙄🙄🙄

Je suis extrêmement mal à l'aise, d'autant qu'à aucun moment, l'entraîneur intervient pour recadrer ses coureurs. Il se contente de sourire et de ne rien dire: autant dire que je suis déçue par son absence de réaction!

La séance suivante, je retourne dans le groupe de Laurence, à la surprise générale. Je suis heureuse de courir à nouveau avec eux. Avec Franck, Marco ou Seb qui, eux, sont très respectueux et ne font pas de remarques déplacées. Mais le ver est déjà dans le fruit et je suis fatiguée à ce moment-là (je cumule travail, études, entraînements, corvées comme le ménage, le linge, les courses et visites à mes parents, je suis HS). Donc à ce moment-là, je décide que je vais arrêter d'adhérer à un club, trop contraignant pour moi.

Toutefois, je sais bien qu'on ne peut pas juger un club dans sa globalité sur la base de quelques coureurs immatures (et relous) et d'un coach complaisant!

Je peux le dire, j'ai connu de très belles personnes au FAC! Petit clin d'oeil à Laurence la super coach, Carole, Franck, Bérengère, Nathalie B., Johanna, Sally, Naoëlle, Adeline, etc...  J'en garderai donc un excellent souvenir, malgré ces quelques coureurs masculins qui n'y ont pas leur place, à mon humble avis, car ils n'ont pas un esprit sportif et sain. Néanmoins, cette expérience m'a montré qu'on peut s'éclater en course à pied sans forcément adhérer à un club, la preuve en est toutes ces belles courses auxquelles j'ai participé en dehors des trois mois passés au FAC d'Andrézieux, notamment la Veni Vici (voir article ici)  

Bonne continuation à ce beau club!

3. Les voyages

Cette année, nous ne nous sommes accordés que trois escapades en dehors des frontières de la Loire où nous vivons avec Chéri. Comme vous le savez certainement, nous privilégions la découverte de la France. Et nous n'avons pas dérogé à la règle en 2024!

Au mois de mars, nous sommes allés passer quelques jours à La Grande Motte pour y participer à une course de 10 kilomètres, la célèbre Course des Pyramides que j'ai bouclée en 1 heure et 56 secondes si mes souvenirs sont bons. L'occasion pour nous de rester quelques jours sur place et de nous promener dans les environs. Ainsi, nous sommes allés visiter le musée George Brassens à Sète, nous nous sommes promenés au Grau-du-Roi que nous aimons tant, mais aussi à la Grande-Motte où nous avons fait un tour sur la Grande Roue, c'était vraiment chouette!

Au mois de juillet, nous sommes allés passer nos vacances d'été dans l'Aveyron et j'ai A-DO-RÉ! J'aime cette France profonde des clochers et des plats du terroir. Cette France qui assume totalement ses valeurs campagnardes et chrétiennes! Les grandes villes et les capitales, très peu pour nous!

Et l'Aveyron propose tout cela. Nous y avons visité de charmants villages anciens classés aux Plus Beaux Villages de France, comme la magnifique Conques, étape incontournable sur le célèbre sentier de Saint-Jacques de Compostelle (que je rêve de parcourir un jour!). Nous avons fait plusieurs randonnées dans la radieuse campagne aveyronnaise. Cela a d'ailleurs été une joie car j'adore faire de la randonnée mais on n'a juste plus le temps d'en faire avec nos entraînements hebdomadaires en course à pied. J'ai donc acheté un guide des marches à faire dans ce beau département et nous en avons profité pour en faire trois belles. En effet, comme nous ne nous sommes quasiment pas entraînés en vacances (sauf une fois, une course nature de 9 kilomètres), nous avions plus de temps pour faire de belles randos dans cette belle Nature que j'aime tant! Nous avons également fait une virée pour découvrir Albi, surnommée la Ville Rouge, le temps d'une journée.

Bref, de superbes vacances d'été dans l'Aveyron (et dans le Tarn en ce qui concerne Albi)!

Et enfin, nous avons passé quelques jours à proximité du Pont du Gard au mois de novembre. Déjà pour courir le 14 kilomètres de la course Veni Vici, mais aussi pour faire un peu de tourisme, du coup... Nous avons visité la jolie ville d'Uzès, mais aussi la Bambouseraie, un jardin botanique classé aux plus beaux de France. Créé en 1856, il propose plus de 1000 espèces de bambous, arbres et plantes remarquables. Une immersion dans la Nature, juste splendide! Nous avons également fait un tour au musée Haribo à Uzès. Véritable temple de la gourmandise, on y découvre l'histoire de la marque, les produits emblématiques (comme les Dragibus, les fraises Tagada, les nounours, les crocodiles, etc...) mais on y fait aussi de la dégustation, miam! La visite est sympa à faire, avec des airs de Charlie et la chocolaterie à certains moments.

On grandira plus tard!

4. La famille

Nous avons fêté nos 10 ans de couple avec Chéri en janvier dernier. Ce qui signifie que dans quelques semaines, nous fêterons nos 11 ans. Je n'en reviens toujours pas, j'ai l'impression que nous nous sommes rencontrés hier pour la première fois, en ce 14 janvier 2014!

Nous ne sommes pas seulement amoureux, mais nous sommes aussi partenaires de vie et meilleurs amis. Il sait absolument tout de moi et je sais absolument tout de lui. Je ne m'ennuie jamais avec lui, on est sur la même longueur d'ondes, à tel point qu'on sait ce que l'autre pense sans même avoir besoin de se parler...

Nous avons passé presque 11 ans de fous rires, de randonnées, de beaux voyages à la découverte de la France que nous aimons tant, de chatouilles (il n'aime pas ça mais tant pis!), d'entraînements en course à pied, de batailles d'oreiller dans le lit le soir, de discussions sur toutes sortes de sujets, etc...

J'ai hâte de voir ce que nous réservent ces 11 prochaines années, je t'aime mon Chéri! ❤️❤️❤️

Mais la famille, ce sont aussi mes parents, que je vois aussi souvent que possible, mais pas suffisamment à mon goût.

Je ne peux pas faire autrement avec le boulot, les révisions et les entraînements. Mais je me dégage du temps quand je peux pour passer les voir à Saint-Romain-le-Puy ou pour qu'ils viennent me voir chez moi à Saint-Just Saint-Rambert. Je les verrai plus lorsque mon examen sera passé, début mars.

Je vais régulièrement au Temple Protestant d'Andrézieux-Bouthéon avec mon Daddy je suis chrétienne protestante) et je fais des virées entre filles avec ma maman. La dernière fois, on a d'ailleurs été à un marché de Noël de la ville où je vis. J'entretiens de très bon rapports avec mes parents, j'aime beaucoup passer du temps avec eux. 

C'est important de passer du temps avec ses parents car ils ne seront pas toujours là...

Pour conclure, cette année 2024 a été plutôt clémente et même enrichissante au niveau du travail. Je me suis améliorée au niveau de la course à pied, même si j'ai été un peu en stand by dans mes entraînements à cause de mes études. La voiture que j'ai achetée en décembre 2023, la Citroën C3, a fonctionné à merveille, même si elle était d'occasion. Pas de soucis de santé majeurs, hormis une bonne chute en courant qui m'a valu quelques points de suture au genou droit. Mais tout est revenu dans l'ordre à l'heure où j'écris ces quelques lignes, ouf!  

Bref, une année 2024 plutôt calme et tranquille...

Voici donc venu le moment de formuler mes résolutions pour cette nouvelle année 2025 qui commence, let's go!

1. Je veux obtenir ce diplôme d'ADVF (Assistante de Vie aux Familles) car il n'est qu'une première étape vers le diplôme d'AES (Accompagnant Educatif et Social) qui est le Graal de notre profession et que je souhaite valider par le biais d'une Validation des Acquis et de l'Expérience (VAE) en 2026. Donc l'examen que je vais passer début mars 2025 n'est que le début de la construction de ma carrière dans le médico-social.

2. Participer à des courses officielles plus longues en distance, entre 20 et 30 kilomètres. Il y en d'ailleurs une pour laquelle nous sommes déjà inscrits, Chéri et moi, à savoir le semi-marathon du lac d'Annecy (21.1 kilomètres) au mois d'avril. Pour le reste, on avisera. J'aurais aimé participer à nouveau à la Veni Vici en 2025 et me lancer sur le parcours de 27 kilomètres mais il se trouve que je vais travailler ce week-end là (je bosse un week-end sur trois). Donc j'envisage de retourner faire cette course en 2026, peut-être pour faire le 47 kilomètres du coup, soyons fous! 😅

Mais pour la seconde partie de 2025, on ne sait pas encore quelle grosse course hors Loire on aimerait faire. On pense fortement à la mythique Marseille-Cassis (fin octobre) qui démarre du stade Vélodrome et enchaîne ses 20 kilomètres dans les décors somptueux des calanques pour enfin arriver à Cassis. Cette course nous fait rêver, Chéri et moi. On verra bien!

3. Passer plus de temps avec mes parents, c'est une de mes priorités pour 2025. Je pense qu'à partir du mois de mars, j'irai dormir chez eux (sans Chéri) une fois par mois. J'ai passé tellement de temps sans les avoir près de moi et depuis qu'ils se sont rapprochés il y a un an et demi, j'ai l'impression de ne pas pouvoir les voir autant que je le voudrais.

4. Je suis très sensible aux questions environnementales et à la protection de l'environnement. Et je pense sincèrement que chacun d'entre nous, en adoptant des petits gestes au quotidien, peut contribuer à réduire son impact sur la santé de la planète. Depuis quelques années, j'ai déjà adopté des habitudes plus écolos comme de ne plus prendre l'avion (le moyen de transport le plus polluant au monde), de mettre un autocollant STOP Pub sur notre boîte à lettres, d'utiliser des cotons démaquillants lavables, d'utiliser des brosses à dent en bambou recyclable, etc... Mais j'avoue que j'ai encore beaucoup de chemin à parcourir. J'aimerais réaliser mes propres produits d'entretien et mes propres produits cosmétiques. Et acheter du makeup bio et certifié "Slow Cosmétiques". Mais aussi acheter plus de nourriture en vrac pour limiter les emballages plastiques et cartonnés. Il se trouve qu'entre mon travail et mes entraînements, je ne passe pas beaucoup de temps chez moi et, de ce fait, c'est compliqué pour moi de trouver des créneaux pour me consacrer à la réalisation de produits plus respectueux de l'environnement et de faire du shopping zéro déchet. Je vais donc essayer de m'améliorer dans ce domaine, tout en sachant pertinemment que je ne pourrai jamais rivaliser avec la célèbre influenceuse écolo Béa Johnson! Bref, je vais faire du mieux que je peux!

Voilà donc mes quatre grandes résolutions pour l'année à venir, j'espère pouvoir les tenir!

Et quant à vous, chers lecteurs, je vous souhaite tout le meilleur pour cette nouvelle année qui démarre. Prenez bien soin de vous et de vos proches. N'oubliez pas que le passé est terminé et que le futur n'est pas encore là. Profitez donc de l'instant présent et faites qu'il soit extraordinaire!

A très bientôt!